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Nicolas Vérin

Articles avec #robert cahen tag

Festival de la Création Musicale au Conservatoire Xenakis à Evry le 23 avril

5 Avril 2024 , Rédigé par Nicolas Vérin Publié dans #Alain Louvier, #Audio-visuel, #Cantate Géorgienne, #Ceremonies, #Compositions, #Concert, #Enseignement, #Essonne, #Evry, #Géorgie, #Nicolas Vérin, #Philippe Arrieus, #Robert Cahen, #Ushba et Tetnuld, #Ensemble Apus, #Michel Boizot, #Alejandra Buitrago, #Bruno Letort

Conservatoire Iannis Xenakis à Evry-Courcouronnes, le mardi 23 avril 2024

Trois concerts

à 17h : élèves de ma classe et atelier électroacoustique de la Maison d'Accueil Spécialisé d'Evry, avec la création de mon Hommage en X pour orgue sensoriel (2e mouvement)

à 18h30 : élèves de ma classe et Raga d'Alain Louvier pour Ondes Martenot et bande, interprété par Philippe Arrieus

à 20h : Ensemble Apus (Michel Boizot et Alejandra Buirtago G, flûtes) - musique et vidéos

avec la création de mon oeuvre Tera Pasejo avec une création vidéo d'Alain Longuet

ainsi que les vidéomusiques, tirées de mon opéra-poème multimédia Ushba et Tetnuld, Ceremonies et Cantate Géorgienne, images de Robert Cahen, musique de Nicolas Vérin.

également au programme des oeuvres de Ana Lara avec vidéo de Daniela Prost et de Bruno Letort avec vidéo de Sébastien Mettraux.

Entrée libre - réservation indispensable au 01 60 77 24 25

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Rétrospective 2023 et meilleurs voeux

31 Décembre 2023 , Rédigé par Nicolas Vérin Publié dans #Cantate Géorgienne, #Compositions, #Concert, #Deux à deux, #Espagne, #Evry, #Fabien Chouraki, #Festival Embarque !, #Festival Futura, #Géorgie, #Robert Cahen, #Pilar Fontalba, #7 pangrammes, #Cantate géorgienne, #duo Xamp, #Fanny Vicens, #Jean-Etienne Sotty, #Reso Kiknadze, #Engur

Cette année passée fut très fertile pour la composition. Après des années un peu au ralenti, j'ai repris une bonne vitesse de croisière.

 

Meilleurs voeux à toutes et à tous pour 2024 et pour la paix dans le monde !

-Finition des mes 7 pangrammes pour piano, également adaptés pour 4 mains. Certains seront joués par des élèves et moi-même au Conservatoire d'Evry le 9 janvier 2024.

-sortie du CD de Fabien Chouraki "Animal Crosswinds", comprenant mes compositions Deux à deux et Etoile Filante III.

-Composition de Méditation sur l'Ukraine, pièce électroacoustique

-Concert du duo Janus avec Fabien Chouraki, au nouveau festival Journées des Territoires de l'Ouïe (collectif oTo fondé par Arnaud Laurens et dont je fais maintenant partie) comprenant mes compositions Deux à deux pour saxophone et électronique, et Etoile Filante III pour sax seul, et mes thèmes jazz Propositions n°1 et n°2 et 0% de m.g. avec improvisations par Fabien Chouraki et moi au piano

-Finition et montage de Cantate géorgienne, vidéomusique avec vidéo de Robert Cahen, création le 24 août 2023 au Festival Futura à Crest

-Finition du 2e mouvement de Hommage en X pour orgue sensoriel, pour l'atelier électroacoustique pour personnes en situation de handicap dont le 1er mouvement a été donné en concert à Evry le 24 mars 2023

-Composition de Le Calopétryx éclatant, pour 2 accordéons microtonals, dédié et créé par le duo Xamp (Fanny Vicens et Jean-Etienne Sotty) au Festival Embarque ! à Juvisy sur Orge le 8 septembre 2023

-Concert, master-class, au Conservatoire de Tbilissi et session d'improvisation (NV au piano et électronique) au Jazz Union Club avec Reso Kinadzé, saxophone, en Géorgie, 1er novembre 2023

-Composition de Engur, pour 2 pianos à 8 mains, qui sera créé le 15 mars 2024 à Evry dans un concert avec des oeuvres de Louvier, Mâche, Bulfon, par Stefano Bulfon, piano solo, et Emmanuelle Huart, Pierre Tesseire et Siham Ben Salah, 2e piano

-début de la composition de De la Tierra aliento dos, pour hautbois et électronique, à la demande de Pilar Fontalba, qui sera jouée par elle au Festival de Nerja/Malaga, dans une version préliminaire, avant d'être créée en septembre 2024 au Festival Embarque - un nouveau souffle ! à Evry, puis repris à Pamplona et enregistrée sur un CD Cezanne à sortir en 2025

-début de la composition de Géo-poïesis (titre provisoire), pour 2 flûtes avec une vidéo d'Alain Longuet, qui sera créée le 23 avril au Conservatoire Iannis Xenakis à Evry par le duo Apus (Michel Boizot et Alejandra Buitrago)  avant d'être reprise en Mai au Festival de l'Image à Manzales en Colombie

En espérant vous retrouver à l'une ou l'autre de ces occasions en 2024 !

 

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Cantate Géorgienne en création au festival Futura ce 24 août 2023 à Crest

19 Août 2023 , Rédigé par Nicolas Vérin Publié dans #Audio-visuel, #Cantate Géorgienne, #Crest, #Ensemble Riho, #Festival Futura, #Georgia, #Géorgie, #Robert Cahen, #Roula Safar

Jeudi 24 août,

dans le festival Futura à Crest,

dans la Drôme

- le plus ancien festival de musique électroacoustique / acousmatique, 31e édition ! -

 

CANTATE GEORGIENNE

 

Nicolas Vérin, musique

Robert Cahen, vidéo,

sera donnée en création

concert 6 vidéo-acousma à 22h30.

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Fin de la résidence pour Ushba et Tetnuld au Conservatoire Iannis Xenakis

25 Avril 2016 , Rédigé par Nicolas Vérin Publié dans #Audio-visuel, #Evry, #Géorgie, #Javier Hagen, #Roula Safar, #Robert Cahen, #Thibault Walter, #Ushba et Tetnuld, #Yaxiang Lu

Fin de la résidence pour Ushba et Tetnuld au Conservatoire Iannis Xenakis

La semaine dernière a eu lieu la résidence de répétitions au Conservatoire Iannis Xenakis d'Evry.

Remerciements à Philippe Loretz et Martial Renaud, régisseurs du Conservatoire. J'ai pu travailler la partie électroacoustique, puis nous avons travaillé la vidéo avec Thibault Walter. Ensuite nous avons accueilli Yaxiang Lu, remplaçant (et élève à Lyon) de Nicholas Isherwood. Thibaut l'a filmé pour l'intégrer dans une séquence vidéo où son image, d'abord morcelée en une myriade de petits fragments, se reconstitue peu à peu. Puis sont arrivés Javier Hagen et Roula Safar, et nous avons travaillé les parties vocales seules. Le dernier jour a permis de faire un filage arrêté puis un filage continu devant un petit public et de retravailler quelques passages.
La nouvelle configuration (un seul écran, chanteurs derrières leurs pupitres, simplification de la vidéo et nombreuses retouches) s'avère fonctionner comme souhaité : moins chargée, elle offre une meilleure lisibilité et rend le spectateur plus disponible pour le contenu, les détails, tant visuels (notamment des vidéos de Robert Cahen) que sonores.
Nous sommes maintenant prêts pour l'avant-première à Loèche (Leuk) en Suisse le 12 mai où aura lieu également une représentation scolaire le 13 mai.
Encore merci à tous nos contributeurs sur Ulule qui ont aidé à rendre cette résidence possible.

Last week the residency took place at Iannis Xenakis Conservatoire in Evry.

Thanks to the tech Philippe Loretz and Martial Renaud. I was able to work on the electronic part, then on the video with Thibault Walter. We welcomed Yaxiang Lu, replacing (and student in Lyon Conservatoire of) Nicholas Isherwood.Thibault shot his portrait to put it in a video in which his image, fragmented in a myriad of small pieces, is slowly rebuilt. Then came Javier Hagen and Roula Safar and we worked on the vocal parts. The last day we put everything together and did a couple of run-through.
The new configuration (single screen, singers behind their music stands, simmlification of videos and many alterations) functions as desired : it is lighter, more transparent and makes the audience freer to concentrate on the content, the details, visual (in particular Robert Cahen's videos) and musical...
We are now ready for the preview in Switzerland on 12 May, to be followed by a school showinf the following day.
Thanks again to all our supporters who helped make this residency possible.

Fin de la résidence pour Ushba et Tetnuld au Conservatoire Iannis Xenakis
Fin de la résidence pour Ushba et Tetnuld au Conservatoire Iannis Xenakis
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Some thoughts after Boulez's death

25 Janvier 2016 , Rédigé par Nicolas Vérin Publié dans #Boulez, #Paris, #Robert Cahen, #Réflexions

Some thoughts after Boulez's death

The death of Pierre Boulez is certainly a turning point in music history in France.

Though I regret his incomprehension and furthermore his brutal rejection of electroacoustic music, one can only recognize the great contribution he brought about, relying on his prestige as a conductor, giving France a leading role in contemporary music. He also helped establish this music's legitimacy in the country, with a strong support from the State and local governments that is envied throughout the world.

Alas, the trend has reversed for already some time, and Boulez's passing may reinforce this tendency. Whether it be in the written press, radio (I'm not even talking of television), festivals, concert seasons, various financial aids or conservatories, the place of contemporary music seems ever shrinking.

Boulez's music was never easy for me. I started with a strong negative bias, as I was at the beginning completely invested in electroacoustic music. His views caused much harm to this genre, and I found quite inappropriate to entrust someone with such limited experience with electroacoustic music to head what became IRCAM. Eventually he succeeded to build something quite extraordinary with the Institute coupled with EIC. While one cannot but recognize his talent as organizer, one can still regret that he rather drily disbanded the original team (among whom Luciano Berio for electroacoustics, Jean-Claude Risset for the computer department and Vinko Globokar for voice and instruments research), fearing to be eclipsed and that the institute would go into multiple aesthetic directions, different to his which he always put forward, sometimes narrowly. However, with a few exceptions, only recognized composers of instrumental music were legitimated and invited there. Most of the time, their musical thinking doesn't give an essential place to sound by putting it at the core of their work. Hence many a work composed there has an electronic part that is ornemental, sometimes beautiful but seldom essential. Moreover, it is not infrequent that these works can be given without the electronic part, it being optional. I find that quite a paradox, particularly in Boulez's music, like in Anthèmes (for violin with optional electronics). If each and every sound must be justifiable by formal thought, then why are electronic sounds dispensables? The same remark applies to the principle of work in progress that Boulez much used. If structure, rigor, and hierarchy are to be placed above all, then how can one extend an existing piece, changing only its last page to go on from there? Isn't it a little bit akin to salami slicing?

One can surmise from this interview from 2011 (in French) - particularly at 4' and 6'45 - that he still thinks that sounds must be submitted to a hierarchy, be precise, limited, in short calibrated so as to form elements of a language. In such case, they are left to be mere symbols, having no value by themselves. This is missing the whole contribution of musique concrète, and one can see how his music is after all way more traditional than electroacoustic music. And what naïveté about the all mighty computer...

But I will not hold blame, as every creator feeds on paradoxes, and surely it is where most riches can be found.

Another paradox : the music Boulez composed for Symphonie Mécanique, a film by Jean Mitry. It is a piece of musique concrète, realized at Studio d'Essai of the French Radio in 1957, with assistance from Pierre Henry. One recognizes numerous sounds from the latter, as Boulez drew in the sonic pool, mostly made up of sounds created yr Pierre Henry. Ultimately, the best from this work seems to be owed to Pierre Henry.

During my years in San Diego, I studied in detail le Marteau sans maître. After three or four weeks with the score and more than a dozen of listen, I gradually admired, then appreciated and even liked it. One can say it is a pleasure to be earned! Since, I sometimes teach it and enjoy listening to it again, but I would not think of doing so otherwise.

My favorite Boulez piece is certainly Répons, though some passages seem to me rather long.

The film Robert Cahen made on that work is truly superb. One can see its beginning in the link below.

Don't hesitate to send me comments!

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Quelques réflexions après la mort de Boulez

25 Janvier 2016 , Rédigé par Nicolas Vérin Publié dans #Boulez, #Réflexions, #Paris, #Robert Cahen

Quelques réflexions après la mort de Boulez

(English version to come in upcoming post)

La mort de Pierre Boulez est certainement un tournant dans l'histoire de la musique en France.

Si je regrette son incompréhension et encore plus son rejet brutal de la musique électroacoustique, force est de reconnaitre qu'il a beaucoup contribué, en s'appuyant sur son prestige de chef d'orchestre, à donner à la France une place prépondérante dans la musique contemporaine dans le monde. Il a aussi permis de lui donner une légitimité à l'intérieur, et un soutien public tant de l'État que des collectivités locales que nous envient les autres pays.

Malheureusement, le mouvement s'est inversé depuis déjà quelque temps, et la disparition de Boulez risque de renforcer cette tendance. Que ce soit dans la presse écrite, la radio, (je ne parle même pas de la télévision) dans les festivals, les saisons de concert, les diverses aides financières ou les conservatoires, la place de la musique contemporaine paraît toujours plus étroite.

Pour le Boulez compositeur, ce n'est jamais allé de soi pour moi. Je partais d'un a priori très négatif, étant au départ investi totalement dans la musique électroacoustique. Ses positions ont fait beaucoup de tort à ce genre, et il me paraissait mal à propos de confier à quelqu'un qui n'en avais fait que très peu la responsabilité de ce qui est devenu l'IRCAM. Finalement il a réussi une construction extraordinaire avec le Centre et l'EIC. Si on ne peut que reconnaitre son talent d'organisateur, on peut quand même regretter qu'il ait remercié sèchement l'équipe initiale (dont Luciano Berio pour l'électronique, Jean-Claude Risset pour l'informatique et Vinko Globokar pour la recherche voix et instruments), craignant qu'ils lui fassent de l'ombre et partent dans des directions esthétiques multiples et différentes à la sienne qu'il a toujours privilégié, parfois étroitement. Par la suite, à quelques exceptions près, seuls les compositeurs ayant une reconnaissance par leurs oeuvres instrumentales ont été légitimés et accueillis à l'IRCAM. Or la plupart du temps, ceux-ci ont une pensée musicale qui ne fait pas vraiment une place importante au son, en le plaçant au départ de leur travail. De ce fait, bon nombre d'oeuvres composées là ont une partie électronique surtout décorative, parfois belle mais rarement indispensable. D'ailleurs il n'est pas rare qu'elles puissent être données sans électronique, celle-ci étant facultative. C'est tout de même un paradoxe, notamment chez Boulez : Anthèmes (pour violon avec électronique optionnelle) est dans ce cas. Si chaque son doit pouvoir être justifié par la pensée formelle, alors pourquoi les sons électroniques sont ils dispensables ? La même remarque s'applique au principe de work in progress que Boulez a beaucoup utilisé. Si la structure, la rigueur, la hiérarchie sont placés au-dessus de tout, alors comment peut on rallonger une pièce existante en ne modifiant que la dernière page pour repartir ensuite. N'est-ce pas là une sorte de saucissonnage ?

On voit dans cet entretien de 2011 (notamment à 4' et 6'45) qu'il continue à penser que les sons doivent se soumettre à une hiérarchie, à être précis, limités, donc en fait à être bien calibrés pour former les éléments d'un langage. Dans ce cas, ils ne sont que des symboles, mais n'ont pas de valeur en eux-même. C'est là tout l'apport de la musique concrète qui est ignoré, et on voit combien sa musique est finalement beaucoup plus traditionnelle que la musique électroacoustique. Et quelle naïveté par rapport au tout informatique...

Mais je ne lui jetterais pas la pierre, car tout créateur se nourrit de paradoxes, et c'est sûrement là qu'il y a le plus de richesse à trouver.

Autre paradoxe : la musique que Boulez a composée pour le film Symphonie Mécanique de Jean Mitry. Il s'agit d'une musique concrète, réalisée au Studio d'Essai de la RTF, avec l'assistance de Pierre Henry. On y reconnait de nombreux sons de ce dernier, car Boulez a puisé dans le fonds commun, essentiellement constitué de sons enregistré par Pierre Henry. Finalement le meilleur de cette oeuvre semble dû à Pierre Henry.

J'avais étudié en détail le Marteau sans maître durant mes années à San Diego. Au bout de trois ou quatre semaines avec la partition et après plus d'une vingtaine d'écoutes, je l'ai petit à petit admiré, puis apprécié, puis même aimé. On peut dire que c'est un plaisir qui se mérite ! Depuis je l'enseigne parfois et j'aime assez le ré-écouter dans ce cadre, mais cela ne me viendrait pas à l'idée de le faire autrement.

L'oeuvre que j'aime sans doute le plus est Répons, bien que certains passages me paraissent très longs.

Le film qu'a fait Robert Cahen sur cette oeuvre est vraiment superbe. On peut en voir le début dans le lien ci-dessous.

N'hésitez pas à commenter !

Extrait de Répons, film de Robert Cahen sur la musique éponyme de Pierre Boulez, avec les musiciens de l'Ensemble InterContemporain. Il s'agit du premier quart environ du film.

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Ceremonies, présenté à nouveau le 14 octobre à Paris et le 12 décembre à Alfortville

2 Novembre 2015 , Rédigé par Nicolas Vérin Publié dans #Audio-visuel, #Concert, #Ceremonies, #Géorgie, #Paris, #Robert Cahen, #Ushba et Tetnuld, #Muse en Circuit, #Motus

Ceremonies, présenté à nouveau le 14 octobre à Paris et le 12 décembre à Alfortville

CEREMONIES,

vidéo de Robert Cahen

musique de Nicolas Vérin

deux présentations à Paris et Alfortville :

Festival des Cinémas Différents

Les Voûtes, Paris 13e,

le 14 octobre 2015

(désolé pour l'annonce a posteriori, mais je l'ai moi-même appris après coup)

et

concert MUSESESSION

Motus et L'Instant Donné à la Muse en Circuit

18 rue Marcelin Berthelot, 94140 Alfortville

le samedi 12 décembre

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Ceremonies, une vidéo de Robert Cahen avec musique de Nicolas Vérin, donnée ce soir au Festival Futura de Crest

20 Août 2015 , Rédigé par Nicolas Vérin Publié dans #Audio-visuel, #Concert, #Crest, #Festival Futura, #Géorgie, #Robert Cahen, #Svanétie, #Ushba et Tetnuld

Ceremonies, une vidéo de Robert Cahen avec musique de Nicolas Vérin, donnée ce soir au Festival Futura de Crest

Ceremonies

images de Robert Cahen
musique de Nicolas Vérin
montage de Thierry Maury

durée : 8'20

sera donnée ce soir au Festival Futura à Crest

diffusion par Éric Broitmann

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